Haro sur les tics de langage !

Dernièrement, je vous partageais sur le groupe privé Ose ta voie ! ma petite expérience à propos des tics de langage, appelés aussi tics verbaux.

Maintenant, voyons comment les réduire, voire comment les éviter.

« euh », « voilà », « du coup », « en fait »…

Dans un contexte privé c’est une chose, cependant, lorsqu’on est amené à communiquer dans un cadre professionnel avec un enjeu important, ou lorsqu’on doit prendre la parole en public, cela devient plus gênant, affectant l’impact de notre intervention, et même parfois notre crédibilité.

Prendre conscience

C’est tout bête (comme souvent), mais pour commencer à agir, encore faut-il avoir conscience de ce que nous devons améliorer. Pour cela :

  • il arrive que des âmes charitables nous fassent remarquer que l’on radote
  • suivant notre métier, nous sommes amenés à être filmés. Et cela peut « faire mal » de découvrir ses points faibles de cette façon, mais ça fait grandir 😉
  • on peut aussi avoir des prises de conscience en direct, et s’apercevoir de nos tics de langage par nous-même (c’est plus difficile de s’en rendre compte), au détour d’une conversation ou d’une prise de parole plus formelle.

S’entraîner

  • au quotidien, se concentrer pour éviter les tics de langage dans nos discussions de tous les jours : cela nous habitue à l’exercice qui deviendra alors plus aisé dans une sphère plus professionnelle
  • se filmer ou s’enregistrer (audio)

Parler plus lentement et utiliser les pauses :

Parler moins vite, utiliser des temps de pause, sont des habitudes qui nous permettent :

  • de prendre le temps de respirer
  • d’optimiser notre discours, réfléchir à la suite et sélectionner notre vocabulaire (et donc éviter les tdl !)

Si vous souhaitez accéder à des tips vidéo pour passer au niveau supérieur en prise de parole, et échanger dans la bienveillance sur le sujet, c’est par ici (pensez bien à répondre 3 questions qui valident l’entrée dans le groupe 🙂 ).

 

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